LA FÊTE DES SECRETAIRES

Origine de la Fête des Secrétaires...

Extrait du communiqué de presse rédigé par le groupe PROMETIS

La création d’une fête des secrétaires a commencé en 1951 aux États-Unis.

Madame Mary Barrett, présidente de l'Association nationale des secrétaires des Etats-Unis (National Secretaries Association) et monsieur C. King Woodbridge, président de Dictaphone Corporation, étaient alors membres d'un comité spécial chargé de trouver des solutions à la situation de pénurie nationale de personnel de bureau qualifié qui sévissait à ce moment. Avec l'aide d'un spécialiste d'un important cabinet de relations publiques (Young & Rubicam), monsieur Harry Klemfuss, ils ont eu l'idée de développer une campagne de sensibilisation, la Semaine des secrétaires.

La 1ère Semaine des secrétaires s'est tenue du 1er au 7 juin 1952. Un tournant important de l'histoire du secrétariat venait d'avoir lieu.

Les deux objectifs officiels qui ont conduit à la création de la Semaine des secrétaires étaient :

• de reconnaître la contribution des secrétaires à l'économie, puisque leurs compétences, leur loyauté et leur efficacité permettent aux entreprises et aux bureaux gouvernementaux d'être en mesure de s'acquitter de leurs activités quotidiennes ;

• d'attirer l'attention, à l'aide d'une publicité positive, sur l'immense potentiel qu'offre la carrière de secrétaire.

C’est en 1991, sous l’impulsion de filiales françaises de groupes américains, que naît en France la Fête des Secrétaires et Assistantes le troisième jeudi du mois d’avril. Néanmoins, cet événement ne prendra réellement son essor qu’en 1999 avec la création du site communautaire Super-Secretaire.com rassemblant aujourd’hui plus de 200 000 membres actifs et le lancement du magazine professionnel Assistante Plus en septembre 2001. Depuis avril 2005, l’événement connaît un retentissement encore plus important avec Assist’expo, le 1er salon National pour les secrétaires et assistant(e)s.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] créé et mis à jour par Rémy VANDEWEGHE